Ideogram lance son offre Pro : 12 000 générations d'images AI à grande vitesse par mois.

Alors que des géants de l'IA comme Adobe et Meta améliorent leurs outils de génération d'images, des startups telles qu'Ideogram, fondée par d'anciens chercheurs de Google Brain à Toronto, innovent également pour rester compétitives.

Aujourd'hui, Ideogram a lancé un nouveau niveau d'abonnement Pro destiné à ses « créateurs les plus actifs » et « professionnels ». Ce programme Pro est proposé à 48 $ par mois avec abonnement annuel (60 $ en facturation mensuelle), rejoignant les offres existantes : Free, Basic (7 $/mois en annuel) et Plus (16 $/mois en annuel).

Comme le plan Plus, le plan Pro permet aux abonnés de garder leurs créations privées et d'uploader des images pour re-mixage. Cependant, il propose des améliorations significatives : les abonnés peuvent soumettre jusqu'à 3 000 invitations textuelles pour une génération d'images accélérée, créant jusqu'à 12 000 images par mois en moins de 15 secondes par lot de quatre. En comparaison, les niveaux inférieurs autorisent respectivement zéro, 400 et 1 000 invitations de génération rapide.

Idéogram prévoit également d'introduire des téléchargements en masse de prompts au format CSV, facilitant l'entrée de plusieurs prompts à la fois et optimisant ainsi le processus de génération d'images.

Il est important de noter que les images générées avec Ideogram ne garantissent pas une protection des entreprises, contrairement à des concurrents comme OpenAI et Adobe. Cela pourrait inciter les utilisateurs préoccupés par les droits d'auteur à hésiter à utiliser Ideogram pour des projets commerciaux comme la publicité ou le marketing. Cependant, les conditions de service d'Ideogram indiquent une autorisation d'utilisation commerciale. De plus, Ideogram excelle dans la génération de textes stylisés et de typographies dans les images, des fonctionnalités souvent inconstantes chez les générateurs d'images IA concurrents.

Les utilisateurs peuvent s'inscrire au plan Pro d'Ideogram dès aujourd'hui.